Home » Actualités

Actualités

20 novembre 2023 - Journée internationale des droits de l'Enfant

C’est le 20 Novembre 1989 que la Convention Internationale des Droits de l’Enfant est approuvée par l’Assemblée Générale des Nations Unies. Cette convention est la prolongation de la convention internationale des Droits de l’Homme. 

En ce jour du 20 Novembre 2023, la situation des enfants à travers le monde est dramatique. Certains sont exploités sexuellement, d’autres sont traités comme des esclaves, n’ont pas accès à l’éducation, aux soins médicaux, doivent travailler et sont considérés comme des bêtes de somme. 

Même en Europe, dans le cadre de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, des enfants ukrainiens ont été déportés en Russie pour être adoptés par des familles russes en complète contradiction avec les articles 7 , 8, 9 et 38 de ladite convention. 

Le 7 Octobre, le Hamas a tué en Israël des enfants, et en a pris d’autres en les emmenant comme otages en Palestine loin de leurs familles israéliennes. Certains ont vu leurs parents être trucidés, torturés. Tout cela au mépris de l’article 38 entre autres de la Convention. 

Tous ces enfants sont maltraités en Europe ou à 6 heures d’avion de Paris.
Les enfants sont l’avenir d’un pays, d’une Nation, de l’Humanité. Nous devons protéger effectivement et activement les plus faibles. Ils sont notre avenir. Il en va de notre dignité d’homme et de femme. 

12 novembre 2023 - Marche civique pour la République et contre l'antisémitisme

Il nous paraît important, nous membres de l'Union Européenne des Femmes, de nous associer à la marche "pour la République, et contre l'antisémitisme".

Fondée il y a 70 ans pour servir la cause de la Paix et de la Démocratie, cette marche répond à nos valeurs. Que vous soyez à Paris ou dans tout autre lieu en France, rejoignez les marches organisées.

Vous trouverez ci-dessous le message de Madame Yaël Braun-Pivet, Présidente de l'Assemblée nationale, et de Monsieur Gérard Larcher, Président du Sénat

                                     Pour la République et contre l'antisémitisme, marchons dimanche !   

   

La République est en danger ; ses fondements mêmes sont attaqués. Il est temps de réagir, il est temps de retrouver ce qui fait la force de notre pays ; le respect des droits de l’homme et de la laicité, pilier de notre modèle humaniste.

Depuis l’attaque terroriste perpétrée en Israël par le Hamas, le 7 octobre dernier, un massacre d’une ignominie jamais égalée depuis la Shoah, qui a causé la mort de 40 de nos compatriotes, les actes antisémites se multiplient dangereusement dans notre pays. En 4 semaines à peine, plus de 1000 faits ont été enregistrés, soit deux fois plus qu’au cours de toute l’année 2022. Cela se traduit sur notre sol par des injures, des menaces, des violences contre nos compatriotes de confession juive. La peur s’installe et risque même de se banaliser, si nous ne réagissons pas. Un sursaut s’impose, pour manifester clairement que la France n’accepte pas l’antisémitisme et que les Français ne se résignent pas, et ne résigneront jamais à la fatalité des haines.

Plus qu’un sursaut, plus que des mots: une mobilisation générale est indispensable, un cri des consciences pour déclarer à la face du monde que la République française ne laisse pas, et jamais ne laissera, prospérer l’abjection. L’antisémitisme, comme toutes les haines, est un symptôme des maux de notre société. Quand il progresse, montent avec lui tous les dangers.

Par-delà leurs différences et leurs divergences, tous les républicains doivent se rassembler, pour réaffirmer l’essentiel : les valeurs qui fondent notre République, les principes de tolérance et de liberté grâce auxquels chacun en France doit pouvoir vivre en paix, quelles que soient ses origines et ses croyances. Notre laïcité doit être protégée, elle est un rempart contre l’islamisme.

La démocratie ne se résume pas au droit de vote : elle est un combat de tous les jours, un engagement à tous les niveaux, pour une société de justice et d’égalité qui refuse la désignation de victimes expiatoires. Ce combat, les Dreyfusards l’ont mené jadis, et plus tard les Résistants, faisant passer avant tout autre considération l’éminente dignité de la personne humaine. Ce combat continue aujourd’hui, et il appartient tout particulièrement au Parlement de le conduire, en présence des périls qui visent les droits et libertés les plus fondamentaux, garantis par la loi et la constitution.

Parce qu’ils représentent la Nation française, députés et sénateurs ont une responsabilité particulière, unique, qui doit les mobiliser dans les moments graves de notre histoire. Ils ne peuvent se taire, ils ne peuvent rester passifs. Ils doivent résister.

C’est pourquoi nous, Gérard Larcher, Président du Sénat et Yaël Braun-Pivet, Présidente de l’Assemblée nationale, appelons dimanche après-midi à une grande marche civique entre le Palais Bourbon et le Palais du Luxembourg unissant tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de notre République et sont déterminés à les défendre.

Une marche pour la République et contre l’antisémitisme

Une marche pour la France des droits de l’Homme et pour la Nation réunie

Une marche des citoyens pour dénoncer les porteurs de haine

Une marche pour la libération des otages dont 8 de nos compatriotes

Comme l’écrivait Clemenceau en défendant Dreyfus : "La France ne serait plus la France, si elle refusait de nous entendre."

 

 

1er Octobre 2023 - Entrée en vigueur de la Convention d'Istanbul dans l'UE

1er Octobre 2023 - Entrée en vigueur de la Convention d'Istanbul dans l'UE - Union Européenne des Femmes

 

 

Signée par la France le 11 mai 2011, ratifiée le 4 juillet 2014, la Convention d'Istanbul entre en vigueur ce 1er octobre 2023 dans l'Union européenne après l'adhésion de l'Union européenne le 1er juin 2023.

 

 

 

Cette convention a pour vocation :

    « a. de protéger les femmes contre toutes les formes de violence, et de prévenir, poursuivre et éliminer la violence à l’égard des femmes et la violence  domestique ;

     b. de contribuer à éliminer toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et de promouvoir l’égalité réelle entre les femmes et les hommes, y compris par l’autonomisation des femmes ;

     c. de concevoir un cadre global, des politiques et des mesures de protection et d’assistance pour toutes les victimes de violence à l’égard des femmes et de violence domestique ;

     d. de promouvoir la coopération internationale en vue d’éliminer la violence à l’égard des femmes et la violence domestique ;

     e. de soutenir et d'assister les organisations et services répressifs pour coopérer de manière effective afin d’adopter une approche intégrée visant à éliminer la violence à l’égard des femmes et la violence domestique ».

 La violence " à l'egard des femmes" doit être compris comme une violation des droits de l'hommeet une forme de discrimination à l'égard des femmes, et déigne tous les actes de violnece fondés sur le genre qui entrainent, ous sont suceptibles d'netrainer pour les femmes, des dommages ou souffrances de nature phyqiue, sexuelle, psychologique ou économique, y compris la menace de se livrer à de tels actes.

La Convention a été signée par 37 pays en Europe..... La Turquie, première signataire, est le seul pays à en être sorti, le 1er juillet 2021.

La Convention est un instrument juridique contraignant obligeant les Etats à prendre des mesurses notamment législatives pour lutter contre toutes formes de violences, elle a vocation à être adoptée universellement.

 

19 septembre 2023 - Nations-Unies "La question du port de l'abaya"

Comme chaque année lors de l’Assemblée générale des Nations Unies qui a eu lieu le 19 Septembre 2023,
 

Le Secrétaire Général des Nations Unies, Monsieur Antonio Guiterres a prononcé un discours en anglais abordant
les problèmes de la paix dans le monde, des migrants et du changement climatique. Puis s’est adressé en
français lorsqu’il a abordé la situation des droits des femmes dans le monde établissant une comparaison
scabreuse et odieuse entre la loi française interdisant le port de l’abaya pour les filles et les femmes dans
les collèges et les lycées et l’obligation du port du voile pour les filles et les femmes en Iran.


Les filles et les femmes iraniennes sont prêtes à mourir pour ne pas porter ce voile. Lors de son discours à
la CSW 67, Le Secrétaire Général des Nations Unies, Monsieur Guiterres s’était attaqué à l’avancée du
patriarcat dans le monde. Le fait de devoir porter pour les filles et les femmes un vêtement couvrant tout
le corps n’est-il pas une marque du patriarcat ?
L’Etat iranien en réponse à la révolte légitime des femmes contre le port obligatoire du voile a répondu
par une aggravation des peines de prison encourues pour le non respect de cette obligation.
En France, les filles et les femmes qui ne respectent pas l’interdiction du port de cette tenue ne risquent
que de ne pouvoir assister aux cours dans leur collège ou lycée.
La France a une législation avancée et inclusive sur les droits des femmes . Son application progresse tous
les jours grâce à la vigilance des femmes et des filles.
Le Secrétaire Général des Nations Unies s’est disqualifié auprès des filles et des femmes françaises aussi
bien qu’iraniennes.

Nous nous battons pour nos droits : l’égalité femme/homme, la liberté et la démocratie !

15 mars - ONU CSW 67 -New-York - 67e Commission du Statut de la Femme

15 mars - ONU CSW 67 -New-York - 67e Commission du Statut de la Femme - Union Européenne des Femmes

 

La 67e session de la Commission du statut de la Femme s'est tenue à New-York du 6 au 23 mars 2023. La section française de l'UEF était présente à New-York avec Christiane Tricot, Représentante de l'uEF aux Nations unies, et Françoise Sème-Wallon Secrétaire générale de l'UEF France. Un "parallel event" a été organisé le jeudi 15 mars (18H00 - 20H00) en visioconférence sur le thème de " l'Innovation pour et par les femmes".

 

 Commission sur le Statut des Femmes : 67ème Session

 L’innovation pour et par les femmes 

Événement parallèle/visio

15 Mars 2023 de 18 heures  à 20 heures(heure de Paris) 

Organisé par l’Union Européenne des Femmes, le Conseil National des Femmes Françaises, et ONU Femmes France 

 

Modératrice

  • Pascale Mesnil : Présidente de l’Union Européenne des Femmes Section Française, Présidente internationale de la commission des affaires internationales de l’European Union of Women, Vice-présidente de l’UEF Ile de France, Secrétaire Générale de la section française WISTA (Women’s Leaders in Maritime) : « Les femmes face à l’innovation».

 

Intervenants :

Delphine OAmbassadrice de France aux Nations unies, Secrétaire générale du Forume Egalité.

 - Dr Jean-Baptiste Renard : Docteur en astronomie et techniques spatiales, Directeur de recherche au CNRS : « Prise de conscience de la pollution : le rôle des femmes »

 - Dr Monique Martinet : Docteur en médecine, neurologue et pédopsychiatre,  Présidente fondatrice de AIR : « Accompagnement des enfants handicapés ».

  - Alice Benhamou Panetta : Présidente de Vivent Les Femmes, Vice-présidente internationale de la Commission du développement durable de l’EUW, Membre du Conseil national de l’UEF : « Innovation dans l’environnement :  quels défis pour les énergies de demain »

- Isabelle BLIN : Secrétaire générale adjointe d’ONU Femmes France, Past-Présidente de SupplémentdElles, Membre fondatrice de Financielles. Past Vice-      présidente du Conseil National des Femmes Françaises, « L’intelligence artificielle et les femmes, un défi pour le monde de  demain » 

Marie-Claude Bertrand : Présidente du Conseil National des Femmes Françaises, Membre du bureau du Conseil International des Femmes, membre du Conseil National de l’UEF section française – Vice-présidente du CECIF - Past Vice-présidente Soroptimist International Europe – Past Présidente  Soroptimist France – « Innovation dans l’éducation au numérique pour les femmes et les enfants »  

Dr Paule Nathan : Docteur en médecine, Présidente du Cercle Olympe de Gouges, Présidente d’Avenirs de femmes, membre du Conseil national de l’UEF           section française :  «  La place de l’humain   ».

-

 

 

 

 
 
 
 

 

Union Européenne des Femmes

Consultante et arbitre maritime, Pascale Mesnil a été élue le 12 décembre 2022. "Merci de votre confiance, soyez assurées chères amies de mon engagement à vos côtés et de tout mon dévouement."

Union Européenne des Femmes

"Nous croyons en la construction européenne et à son avenir pour préserver et renforcer la démocratie et la paix entre tous nos pays"